Le blanc s'étale en grappe, recouvrant cette opacité,
Une brume blanche sans fin, à perte de vue
Ce soir, le ciel est confondu
Les sphères scintillantes meurent une à une
Le lit de la nuit se dérobe à mes pieds
J'entend pourtant le ruisseau
Et sur cette branche, le bruissement de l'oiseau
En attendant l'arrivée de l'astre blanc
L'oiseau s'est tu
La silhouette dolente,
Il dort en silence
Les millénaires de cette terre,
Enfouis, gardant le secrets de ses passants
Le sol foulé, retourné
Le sommeil engourdit lentement leurs prières
Les murs, seuls vestiges de leur venue
Se dressent, conquêrants
Dans la pénombre des plaines
Que sait-on de leur instant?
Ont-ils vus tout ce blanc?
Leurs mains écorchées?
Doucement, la lumière jaillit
Éclairant sous leur vrai jour
Les raisons de leurs croyances
Vif, le vert s'étale
Faisant frémir,
ses paupières fermées
Beauté éclatante de pureté
Il déploie ses ailes
Et s'envole dans l'infinité
De ce matin blanc
Une brume blanche sans fin, à perte de vue
Ce soir, le ciel est confondu
Les sphères scintillantes meurent une à une
Le lit de la nuit se dérobe à mes pieds
J'entend pourtant le ruisseau
Et sur cette branche, le bruissement de l'oiseau
En attendant l'arrivée de l'astre blanc
L'oiseau s'est tu
La silhouette dolente,
Il dort en silence
Les millénaires de cette terre,
Enfouis, gardant le secrets de ses passants
Le sol foulé, retourné
Le sommeil engourdit lentement leurs prières
Les murs, seuls vestiges de leur venue
Se dressent, conquêrants
Dans la pénombre des plaines
Que sait-on de leur instant?
Ont-ils vus tout ce blanc?
Leurs mains écorchées?
Doucement, la lumière jaillit
Éclairant sous leur vrai jour
Les raisons de leurs croyances
Vif, le vert s'étale
Faisant frémir,
ses paupières fermées
Beauté éclatante de pureté
Il déploie ses ailes
Et s'envole dans l'infinité
De ce matin blanc
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